En 1990, Florent Pagny vit une idylle avec Vanessa Paradis. Lorsque le magazine Rolling Stone publie quelques ligne désobligeantes sur Vanessa Paradis, Florent Pagny voit rouge et dégaine Presse qui roule. C’est le début d’une descente aux enfers. Boudé par les médias, Florent Pagny ne vend plus de disques, ses revenus financiers s’effondrent. Et dans sa vie privée c’est le chaos. Vanessa Paradis le quitte pour Lenny Kravitz, et tout son univers s’effondre.
D’un seul coup, ce qui était plus troublant c’était de voir que mes copains avaient plutôt choisi de la suivre que de rester avec moi donc c’était plus ça qui me dérangeait de l’en dissuader, en vain. Et puis j’arrivais aussi à un moment économiquement difficile et autour de Vanessa on lui expliquait qu’il ne fallait pas rester non plus, que ça allait devenir un peu dur.
Alors qu’il touche le fond, sa vie va prendre un nouveau virage, grâce à une rencontre. Et à une chanson, Et un jour, une femme. Cette chanson, Florent Pagny n’en est pas l’auteur. Mais chaque ligne écrite par Lionel Florence, son parolier, semble faire écho à sa propre histoire. Et cette femme, c’est Azucena Caamano, artiste peintre, ancienne mannequin d’origine argentine, la mère de ses deux enfants.