Thierry Hazard, de son vrai nom Thierry Gesteau, est un chanteur français né le 7 juin 1962 à Compiègne, Hauts-de-France. Au cours de sa carrière, il s’est fait connaître dans les années 1990 avec des titres tels que « Le Jerk« , « Poupée psychédélique » et « Les Brouillards de Londres« . Thierry Hazard a commencé sa carrière en tant que chanteur du groupe GPS (Garage Psychiatrique Suburbain) dans les années 1980. Le groupe a sorti deux mini-albums sous le label Underdog. En 1988, il a signé un contrat en solo avec CBS et a sorti son premier single « Poupée psychédélique« , qui n’a pas rencontré un grand succès à sa sortie. Cependant, sa carrière a pris un tournant avec la sortie de son deuxième single, « Le Jerk« , en 1990, qui est devenu un énorme succès en France, atteignant la deuxième place du Top 50. Il a également sorti une nouvelle version de « Poupée psychédélique » à la fin de 1990, qui a également connu un grand succès. Son premier album solo, intitulé « Pop Music« , est sorti à la fin de l’année 1990 et a rencontré un grand succès grâce aux singles précédemment mentionnés, ainsi qu’à d’autres chansons telles que « Les Brouillards de Londres« , « Un Jour c’est oui, un Jour c’est non » et « Les Temps sont durs« . Une reprise de la chanson de Michel Polnareff, « Tout, Tout, pour ma chérie« , figure également sur cet album. En 1994, Thierry Hazard a sorti son deuxième album intitulé « Où sont passés les Beatniks?« , avec les singles « Julie est trop prude » et « Où sont passés les Beatniks?« , mais ils n’ont pas connu le même succès que ses précédents titres. Mais le four est total, et aucun titre ne parvient à exploser en radio. C’est là que le mystère commence réellement. Après cet échec, Thierry Hazard disparaît. Depuis 25 ans, aucun journaliste, aucun fan n’a réussi à mettre la main sur lui. Pas faute d’avoir essayé. Les rumeurs vont bon train : la plus courante l’envoie aux États-Unis, où vivait sa femme à l’époque de ses succès. Serait-il parti la rejoindre ? En parallèle, plusieurs recherches le localisent successivement à Tahiti, où il serait devenu animateur radio, ou en France. Mais entre les homonymes trompeurs et les spéculations fantaisistes, rien ne se confirme.
