Ma grande est partie. Enfin libérée de ses souffrances… Il y a quatre jours, elle me parlait encore de son désir de partir dans l’autre dimension… Mon âme-sœur, tu es là-haut et même si je suis détruite, je me réjouis de te savoir libérée. Je suis devenue une ombre qui marche dans un vide sidéral puisque j’ai perdu un morceau de mon âme. Tu es là, dans mon cœur et s’il te plait, lorsque tu seras arrivée, embrasse Ludo pour moi.
Sheila