Je sors d’un triste mois, un mois de réflexion, de doutes et de larmes. Un mois pour guérir un peu et se faire, en famille, à cette nouvelle réalité… La réalité du manque.
Là je me relève doucement, fort de l’immense soutien que vous m’avez offert par vos messages, vos courriers, et aujourd’hui par dessus tout je voudrais exaucer sa volonté tenace de nous voir continuer de vivre à fond.
Cette blessure fera éternellement partie de moi, tout comme maman, tout comme vous. Et c’est ma façon d’être entier.
Merci de m’avoir soutenu et d’avoir respecté la distance que j’ai choisi de prendre.
À très bientôt ❤️🩹
Amir