Interviewé par le magazine Psychologies (édition août 2022) Nikos Aliagas est revenu sur sa malformation de naissance qui a failli lui couté la vie :
Je suis né mort : j’avais une grave malformation du duodénum, on me donnait une semaine à vivre. Une jeune chirurgienne m’a sauvé, mais j’ai vécu longtemps dans la douleur. Les deux premiers mois de ma vie, je n’ai pas été en contact avec mes parents, on ne m’a enlevé mes fils qu’à 2 ans, et aujourd’hui encore, à n’importe quel moment, s’il m’arrive quoi que ce soit, tout peut s’arrêter. En permanence, je suis en survie. Alors les petits inconvénients de la vie, je ne les vois pas .